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schola_litterarum

🎙️ podcast Palimpseste
🌞 jurée @harpercollinsfrance @editions_pocket
📚 partenaire @editionsalisio @editionsnami @mpluseditions

Saviez-vous que durant l’Antiquité, l’éducat Saviez-vous que durant l’Antiquité, l’éducation des enfants était d’abord envisagée comme la transmission des valeurs de la société ? Cela transparaît dans l’étymologie : « educare », « educere » viennent de « ducere » signifiant initialement… « conduire un troupeau » ! C’est bien la preuve que l’éducation consistait en l’adoption des valeurs traditionnelles. 
Dans cet ouvrage, l’auteur retrace les différentes étapes de l’éducation des enfants (rappelons-le, l’étymologie « infans » signifiant « celui qui ne parle pas encore de manière sensée ») montre bien l’évolution des jeunes Romains et du regard de la société romaine : concernant le parcours éducatif de chaque enfant, mais aussi concernant la manière dont est envisagée l’éducation au fil des siècles. L’analyse est donc synchronique et diachronique !
Mon petit cœur d’ancienne prof de latin n’a pas pu résister à la vue d’un ouvrage spécialisé sur une thématique dont j’avais parlé en classe avec mes petits 5èmes. Et malgré le fait que je donne des cours de langue et civilisation latines, j’ai appris énormément ! C’est un ouvrage brillant, extrêmement clair et bien structuré, adressé à un public spécialisé, ou non !
Merci @lesbelleslettreseditions 🤍 livre offert 
#recommandationlittéraire #bookstagramfrance
Sur une plage enneigée, un homme dessine les trai Sur une plage enneigée, un homme dessine les traits d’une enfant, Clapotille, qui prendra vie dans ses rêves. Ce père-démiurge, profondément malheureux, entrevoit à travers sa création son enfant, mort-né plusieurs années auparavant. Mais cela ne l’aide pas à aller mieux : chaque nuit, il descend dans le monde des ombres, des cauchemars, et il se transforme. Les monstres qui habitent ce monde de la nuit prennent possession de son corps. Il est de plus en plus incontrôlable, mais il ne veut pas blesser Clapotille. Et Clapotille se sent investie d’une mission : aider son père à lutter contre les monstres. Or Clapotille grandit, et elle doit aussi s’émanciper. Alors, c’est le déchirement.
Clapotille, c’est un conte très bref, aux enjeux très profonds. Il aborde la relation père-fille de manière poétique, mais aussi des thèmes bien plus noirs comme la dépression, la mort ou l’inceste. L’écriture de Laurent Pépin est très recherchée, très subtile, très délicate. Ses mots transportent le lecteur dans des contrées lointaines, oniriques. Ce monde est beau et doux, mais aussi empreint de nuances bien plus sombres, et Clapotille promène son lecteur de rêve en cauchemar et de cauchemar en rêve.
Merci @laurentpepinfablesfertiles 🤍 livre offert 
#recommandationlittéraire #bookclubfrance #quelire #bookstagram
Et toi, qu’as-tu lu ? Dis-moi dans les commentai Et toi, qu’as-tu lu ? Dis-moi dans les commentaires 👀👀
#recommandationlittéraire #bookstagramfrance #bookreviewfrance #bilanlitteraire
On ne sort pas indemne de la lecture de ce roman. On ne sort pas indemne de la lecture de ce roman. C’est une véritable claque sur les deux joues, qui m’a fait pleurer toutes les larmes de mon corps. D’autant plus qu’il est inspiré de faits réels : la déportation massive de jeunes enfants, arrachés à leur île natale, la Réunion, et envoyés dans les régions de métropole moins habitées, afin de les repeupler. Dans ce roman, ils s’appellent Jospeh, Marie-Thérèse, Michel, Patricia. Mais au XXe siècle, ils avaient des milliers d’autres prénoms.
Marie-Thérèse, la protagoniste, est une femme malade et âgée lorsqu’elle écrit son autobiographie, qu’elle destine à sa fille. Elle veut que cette dernière puisse connaître ses origines. Pour ne jamais oublier. Marie-Thérèse revient sur son enfance : très tôt arrachée à sa mère, elle est envoyée dans des centres avec ses frères et sœurs, qui lui sont eux aussi enlevés. Elle n’aura jamais de nouvelles. Elle reste seule, avec son jeune frère Joseph. Un couple de fermiers les adopte et très vite, leur existence devient encore plus infernale : pas une journée ne se déroule sans qu’ils ne subissent de violences. Alors, il faut trouver un échappatoire, pour supporter la souffrance. Cela prend d’abord la forme d’une cabane dans la forêt, un refuge privé, hors du temps et loin des parents cruels. Et puis, cela devient un plan d’évasion.
Dire que j’ai adoré ce roman serait un euphémisme. J’ai été touchée en plein cœur par cette histoire si bien menée, aux protagonistes si bien définis, à l’alternance entre regard rétrospectif, souvenirs et moments présents si bien maniée, que j’ai cru que c’était une autobiographie, avant de réaliser mon erreur. Et puis je me suis dit que le personnage de Joseph Gosse, le fameux poète réunionnais révélateur de ce tragique évènement, était si bien approfondi qu’il avait forcément existé. Spoiler : non. C’est dire à quel point ce roman est bien ficelé. Mais si les personnages sont fictifs, les enfants déportés, eux, ne le sont pas : ils ne s’appellent peut-être pas Marie-Thérèse ni Joseph, ils ne sont peut-être pas écoutés, mais n’est-ce pas tout le propos de cette œuvre, que de redonner une voix à ceux qui n’en ont pas ?
C’était la première fois que je lisais Rilke e C’était la première fois que je lisais Rilke et le choc fut frontal. Rilke a su manier les mots afin de retranscrire le sentiment amoureux, si commun, mais aussi si personnel. J’ai été happée par ce recueil, qui tord les règles poétiques traditionnelles, comme si la passion imposait ses débordements à la syntaxe. J’ai rarement lu des mots aussi vrais, aussi justes, qui ont autant résonné en moi, alors même que le sujet traité (l’amour) est on ne peut plus commun et universel.
Rilke rend dicible l’essence même de la passion, à travers cet éloge contrasté de l’amour. Il met en valeur ses joies, ses peines, ses contradictions constitutives. Il fait émerger le bonheur de la présence, la souffrance de l’absence, du rejet, de l’abandon. A travers des poèmes en prose et en vers, longs et brefs, il s’inspire de ses propres expériences de l’amour avec les femmes qui ont marqué sa vie pour trouver les mots justes qui résonneront en chaque amoureux.
Cette œuvre, polymorphe et très incarnée, permet au lecteur de s’identifier aux tourments et aux passions que fait émerger l’écriture. Rilke est à la fois poète et médecin de l’âme : en mettant en mots les maux, il aide son lecteur à exprimer ses peines afin de mieux les cerner et donc de mieux en guérir. Et dans le même mouvement, paradoxalement, il rend aussi plus intense la passion de l’amoureux épanoui. Même si cette oeuvre se focalise surtout sur les joies de l’amour, elle s’adresse aussi à ceux qui n’ont plus d’espoir, et il ne faudrait que quelques syllabes à Rilke pour redonner foi en la passion à des amoureux déçus et désillusionnés.
@lesbelleslettreseditions 🤍 livre offert 
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Bookhaul assez long parce que j’ai reçu énormément de livres 💖 de la part de @bookbot.fr - LA plateforme pour vendre et acheter des livres d’occasion ! J’ai reçu ma commande très rapidement, les livres sont en excellent état et à très bas prix !! La preuve, le montant total de ma commande était de 40e 😇 et j’ai pris énormément de livres 🥰
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